Une information relayée sur France Inter dans le journal du matin du 13 juin.
Certaines banques commencent à prendre en compte le budget lié aux frais d’essence dans le calcul des crédits négociés – dans le cas où l’emprunteur doit se déplacer pour son travail par exemple.
Cette évolution est directement liée à la hausse du prix du pétrole. Les dépenses de déplacements représentent depuis peu le deuxième budget des ménages derrière l’immobilier et devant l’alimentation selon la journaliste.