Note : Article proposé par le site Premiertaux.com.

Vous êtes à la veille d’un achat immobilier, voire déjà engagés dans le cadre d’un compromis et vous vous posez la question de savoir sous quelle forme emprunter ? Ce qui suit peut vous éclairer à faire le bon choix !

Si la sécurité absolue réside dans le choix d’un prêt à taux fixe, il faut savoir que le taux variable revient en force dans un marché à taux exceptionnellement bas. De plus, les dérives constatées par le passé sont désormais contenues : la Loi Chatel notamment, oblige désormais les banques à une transparence totale envers l’emprunteur, et certaines pratiques leur sont désormais interdites, ce qui sécurise d’avantage le crédit à taux variable.

Et si la question du taux fixe ou du taux variable se repose aujourd’hui dans des circonstances plus saines, le choix de l’emprunteur va quant à lui être dicté à la fois par une préoccupation sécuritaire avec un taux variable capé mais aussi et surtout par la volonté de payer moins cher son crédit immobilier.

Nous avions annoncé il y a maintenant 9 mois que la question serait d’actualité fin 2009.

Nos prévisions semblent aujourd’hui avérées, et mieux encore, les résultats de notre analyse soulignent qu’aujourd’hui, un crédit immobilier consenti à taux variable est gagnant à tous les coups !

En effet, prenons un exemple classique d’un taux fixe proposé par un établissement bancaire de 3,8% (hors assurance) et d’un taux variable de 2,95% capé 1 ,10 c’est-à-dire ne pouvant excéder quoi qu’il arrive le taux maximum de 4,05%. Le différentiel positif actuel serait de 0,85 % soit 6 à 7% de la mensualité et le risque maximum serait de payer son crédit à un taux de 4,05 soit 0,25% en plus du taux fixe soit un différentiel d’environ 2% de la mensualité.

Alors les paris sont ouverts. Pensez-vous que les taux remontent suffisamment vite pour démonter ce raisonnement, en sachant le poids de la dette publique des pays européens ? Que cette dette doit être refinancée à des conditions de taux bas sauf à exploser les équilibres budgétaires ? Et comment concevoir que la consommation reparte solidement sans un allègement de la dette des ménages ? Tout ceci milite en faveur d’un maintient des taux bas de manière durable et peut-être au-delà de ce que les prévisions les plus pessimistes veulent bien dire…

Vous hésitez encore ? Rendez-nous visite sur notre site Internet pour tout conseil dans votre recherche de financement immobilier : www.premiertaux.com.